Il était une fois le restaurant. Un carrosse doré pour les papilles qui, en un claquement de doigts, se transformait en grosse citrouille pour la bonne conscience.
Et pourtant, il y a moyen d’y vivre heureux et ce jusqu’à la fin des temps en appliquant simplement les 7 conseils suivants.
Au restaurant, des légumes, il en manque tout le temps. Pour obtenir un repas bien équilibré, veillez à ce que les légumes recouvrent la moitié de votre assiette. Ce n’est pas le cas? Demandez d’ajouter un extra. Si vous dinez en tête à tête, vous pourriez aussi offrir à votre invité de partager une salade-repas et l’assiette de votre choix.
Dans l’ensemble du repas, le pain, le riz, les pâtes et les patates que vous mangerez devraient représenter le volume de votre poing fermé. Si vous fantasmez à l’idée de mordre à pleine dent dans le pain chaud, succombez à la tentation mais optez ensuite pour un repas plus léger comme une salade au poulet grillé, une soupe repas aux lentilles ou un plat de saumon et de légumes sautés. Si vous reluquez un repas comprenant des féculents, commandez plutôt un jus de tomate, une salade verte ou une soupe minestrone en entrée… et passez le pain au suivant!
Les grands carnivores seront ravis d’apprendre qu’il est plus facile de contrôler son appétit avec un plat composé en partie de viande, de poulet ou de poisson. Toutefois, sachez qu’une portion sensée compte en moyenne 3 ou 4 onces soit le volume d’un jeu de carte ou de la paume de main. Choisissez des coupes de viande et de volaille maigres comme la poitrine de poulet grillée sans la peau, le filet mignon et le bifteck de flanc plutôt que le faux-filet ou la cuisse. Côté végétarien, les légumineuses, le tofu, les noix, les œufs et le fromage procurent le même effet rassasiant.
Aux termes «poêlé», «frit», «croquant», «enrobé», «gratiné», «crémeux» et «en sauce», préférez tout ce qui est «grillé», «cuit à la vapeur», «cuit au four», «poché» ou «sauté».
Un mauvais choix de boisson aura tôt fait d’anéantir tous vos efforts côté bouffe. L’eau, l’eau pétillante, un « Bloody Mary ou Caesar » sans alcool, le lait, la tisane, le thé et le café sont d’excellents choix. Un verre de vin, une bière légère, ou un petit jus de fruits sans sucre ajouté sont de bons choix, alors que les boissons gazeuses, les cocktails sucrés et la demi-bouteille de vin représentent vos pires options.
Au restaurant, vos désirs seront des ordres! Profitez-en pour demander les sauces ou la vinaigrette à part (2 cuillères à soupe suffiront à couvrir votre salade) et à modifier vos accompagnements. Remplacez les frites par une portion de pomme de terre au four ou une salade du chef et, bien entendu, n’oubliez pas l’extra de légumes!
Optez pour le menu à la carte plutôt qu’à la table d’hôte et délaissez le buffet. Vous serez alors moins tenté de manger au-delà de votre appétit. Si vous aimez terminer le repas sur une note sucrée, optez pour une salade de fruit ou pour une poire pochée. Un bon café au lait peut tout aussi bien faire le travail. S’il vous est impensable de passer à côté du gâteau, demandez deux fourchettes et faites un heureux!
Surtout, de grâce, laissez la culpabilité à la maison. Utilisez les trucs qui vous plaisent et dans le cas où vous osez un repas plus copieux, mangez lentement pour en savourer chaque merveilleuse bouchée. Je vous mets au défi de faire confiance à la bonne fée Appétit qui vous indique quand arrêter pour être agréablement rassasié et de rapporter les restants pour le diner du lendemain. Gardez en tête que tout n’est pas perdu après un seul repas au restaurant… vous avez toujours l’option de compenser au repas suivant.
Bonne bouffe!
Pour les rares fois où je me paie un bon restaurant (cuisine française par exemple), au diable les restrictions.
Cette bonne façon de me nourrir, j’aime mieux tenter de le faire au quotidien, à la maison.
Par contre, c’est vrai que je demande parfois plus de légumes, j’aime et il n’y en a souvent pas assez avec certains plats.
Ayant tendance à faire de l’hypoglycémie, je dois privilégier l’apport de sucres lents au dîner, autrement la faim me réveille. Par contre au restaurant, je prends plaisir à manger ce qui est proposé, sans exagération, je compense aux repas suivants.
Pas d’accord non plus! Si je vais au resto, ce n’est pas pour faire régime. Si le pain est bon, je le mange. Mais seulement s’il est bon. Des frites? Oui si elles sont exceptionnelles ou essentielles, comme pour un steak-frites. Je n’en fais jamais à la maison, alors…
J’ai déjà eu un restaurant, et il n’y avait rien de plus énervant que les clients qui demandaient le coq au vin sans sauce, ou le saumon sans hollandaise, etc. Alors, pensez aussi au chef, s’il vous plaît!
Pour gina à qui dit aimer les frites comme le steak frites sûrement pas celui de Gatineau nous sommes aller la semaine passée et très déçue les frites pas mangeable désolé steak frites
je trouve cet article très intéressant, je comprends le point de vue des personnes qui vont au restaurant une fois de temps en temps mais pour ma part, à cause du travail qui me conduit dans une autre ville de façon régulière, je n’ai pas le choix que de manger au restaurant, merci pour ces trucs intelligents.